Le jardin sauvage
Lorsque votre environnement proche, vos balades, promenades
Ne peuvent vous offrir
votre cueillette gourmande,
Votre jardin vous vient en soutien.
Ainsi la nature se relaie dans ses espaces variés,
Il suffit de l’accueillir et de cueillir.
Il est des
temps chauds comme cet été ou l’on peut se féliciter d’avoir laissé ou mis des
herbes sauvages dans son jardin d’Éden.- Sourire -
Depuis 2
mois, on/je me promène dans les environs et les herbes jaunissent en cette fin de mois de juin, plus de jeunes
pousses, plus d’eau.
Plus de
cueillette ?
Le soleil à bien « grillé »
une partie des herbes comestibles.
Un peu d’ombre en sous-bois ou l’on trouve encore
quelques feuilles d’épiaire à cueillir ou d’ortie mais elle pique fort cette
dernière, histoire de se rappeler à ma peau et y ajouter un souvenir brûlant
pour la journée.
Les graines de bien des plantes grossirent peu, graines minuscules de l’alliaire, de l’ortie,
les baies de sureau tombent avant la cueillette, les drupes du cornouiller
mâles ne se mettent pas en chair, juste une mince peau sur son noyau, alors que la primevère faisait une repousse en
cette fin de mois d’août elle se retrouve en état d’attente, et nous aussi nous
attendons sauf, sauf ….
Sauf si vous
avez un jardin arrosé et là la Nature vous offre un beau paysage de
gourmandise, de nourriture, de vitamines, de force pour votre corps et relation
à votre espace naturel dans un véritable échange de récompense, de
reconnaissance du temps passé avec lui.
C’est ce qui se passe ici, dans mon
jardin.
J’ai étendu du compost de désherbage en graines, ... drôle !
J’ai étendu du compost de désherbage en graines, ... drôle !
je m’attendais à avoir beaucoup de travail de
désherbage mais Dame Nature cette année m’offre autre chose.
Alors que le soleil chauffe au point de ne plus laisser pousser les herbes, voici que ce compost - dit de mauvaise qualité - étendu sur mes espaces ( il fait trop chaud pour le jardin et trop chaud pour nous) m’offre un magnifique garde-manger.
Alors que le soleil chauffe au point de ne plus laisser pousser les herbes, voici que ce compost - dit de mauvaise qualité - étendu sur mes espaces ( il fait trop chaud pour le jardin et trop chaud pour nous) m’offre un magnifique garde-manger.
Je pensais
que le jardin - même mon jardin
paresseux - n’aurai besoin de rien, qu’il allait bien s’en sortir ;) comme
nous…Dame Nature à besoin d’un coup de
pouce, non pas une présence permanente mais un coup de pouce au moment où on
sait écouter et c’est ce qui s’est passé cette année.
Cette année
je n’ai mis aucunes semences en place, pas
de temps disponible.
Canicule !
j’ai la chance d’avoir un puits,
j’arrose, je pars et reviens quelques jours plus tard en cette mi-août.
Retour au jardin, la surprise et mon/nos repas est là, là sous mon regard du retour au jardin abandonné à la chaleur mais bien arrosé avant de partir… pas la peine de faire de courses de légumes tout est là.
Un peu d’eau et la faire descendre en terre quelques centimètres. Pas de pluie véritable lors de l’absence.
Et voici en images toutes les herbes comestibles, gratuites, nourrissantes bien au-delà des cultivées qui sont sorties de leu dormance.
J’avais mis dans le jardin les épluchures des légumes cultivés de l’an passé.
Et je gagne en tomates, en courges, courgettes, bourrache, persil, blettes, mes légumes permanents … et les sauvages, chénopode (bon-henri), pissenlits, amarante réfléchie, bourse à Pasteur, épiaire, ortie,
…
Retour au jardin, la surprise et mon/nos repas est là, là sous mon regard du retour au jardin abandonné à la chaleur mais bien arrosé avant de partir… pas la peine de faire de courses de légumes tout est là.
Un peu d’eau et la faire descendre en terre quelques centimètres. Pas de pluie véritable lors de l’absence.
Et voici en images toutes les herbes comestibles, gratuites, nourrissantes bien au-delà des cultivées qui sont sorties de leu dormance.
J’avais mis dans le jardin les épluchures des légumes cultivés de l’an passé.
Et je gagne en tomates, en courges, courgettes, bourrache, persil, blettes, mes légumes permanents … et les sauvages, chénopode (bon-henri), pissenlits, amarante réfléchie, bourse à Pasteur, épiaire, ortie,
…
L’association
vous aide en se déplaçant dans le département et département limitrophe ou bien
vous faites un tour sur le blog pour votre accompagnement et ce, gratuitement.
A vos découvertes, à vos retours à la Nature, à votre Nature.
A vos découvertes, à vos retours à la Nature, à votre Nature.
Je vous dirai bien : Allez dans
votre jardin entretenir vos cultivés et vos sauvages, et si vous me
disiez : je n’ai point de jardin !
Je vous dirai :
Allez vous approvisionner dans votre
supermarché,
Mais n’oubliez pas d’aller vous
promener,
Balade dans les bois glaner quelques
fruits et à l’orée du cueillir quelques herbes par poignées.
Vous récolterez votre équilibre, votre oxygène pour votre pensée.
Vous récolterez votre équilibre, votre oxygène pour votre pensée.
Allégée, celle-ci vous en sera grée
pour quelques moments de paix.
Aussi végétaux de tous bords sont à votre portée et n’attendent plus que vous pour vous reconnecter.
Vous reconnecter à votre Nature vivante, simple, humble, nourrissante et enjouée.
Jouons à une autre vie qui n’attend que nous !
Aussi végétaux de tous bords sont à votre portée et n’attendent plus que vous pour vous reconnecter.
Vous reconnecter à votre Nature vivante, simple, humble, nourrissante et enjouée.
Jouons à une autre vie qui n’attend que nous !
Je vous
laisse apprécier les photos.
Monique Sivadon
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