Nos retrouvailles avec la Nature
Souvenirs d’Antan
Qui enfant n’a pas de joyeux souvenirs
de promenade dans la Nature des champs et forêts !
Souvenez-vous !
Que de joie à cueillir les petites fleurs sur les chemins et en faire un bouquet à offrir, de prendre un bout de branche au sol et taper tout ce que tu trouves sur le passage et faire craquer les bois morts .
Souvenez-vous !
Que de joie à cueillir les petites fleurs sur les chemins et en faire un bouquet à offrir, de prendre un bout de branche au sol et taper tout ce que tu trouves sur le passage et faire craquer les bois morts .
- Chuttt ! Écoutez les oiseaux,
dit l’adulte !
Il faut bien que le corps exulte, chose si difficile en appartement, alors en toutes saisons et tout temps il y eut la promenade dominicale.
Il faut bien que le corps exulte, chose si difficile en appartement, alors en toutes saisons et tout temps il y eut la promenade dominicale.
On va prendre l’air.
Vous souvenez-vous de vous enfants ou
parents de vos balades en campagne, dans le jardin des parents, grands-parents,
amis, parc de la ville ou mieux, les champs et forêts !
Que de joie à cueillir les premières pâquerettes puis les
jonquilles, narcisses et en faire un joli bouquet. On savait que ce bouquet finirait sur la table du repas, il
restera quelques jours en témoignage de ce moment de détente en famille, entre
amis.
Je me souviens de mes garçons qui à choisir la cueillette de fleurs préféraient de beaucoup prendre un bout de branche au sol et taper sur tout ce qu’ils trouvaient sur leur passage… j’ai des souvenirs encore vifs et joyeux où ils se défoulaient sur des troncs au sol. Bien souvent le bâton se cassait rapidement, un autre le remplaçait bien vite.
Je me souviens de mes garçons qui à choisir la cueillette de fleurs préféraient de beaucoup prendre un bout de branche au sol et taper sur tout ce qu’ils trouvaient sur leur passage… j’ai des souvenirs encore vifs et joyeux où ils se défoulaient sur des troncs au sol. Bien souvent le bâton se cassait rapidement, un autre le remplaçait bien vite.
Chuttt ! Disais-je ! Écoutez les
oiseaux ! Et leurs bâtons bâtaient de plus en plus fort… histoire de voir qui aurait
raison - drôles !
Je
riais de voir leurs têtes.
Mais rien à faire, ils poursuivaient leur bataille imaginaire avec des êtres venus d’une autre planète. Ce sera pour plus tard, lorsqu’ils seront adultes les « chuttt , écoute les oiseaux » ou en d’autres circonstances mais pas un dimanche où déjà ils sont restés enfermés dans les classes toute une semaine.
Mais rien à faire, ils poursuivaient leur bataille imaginaire avec des êtres venus d’une autre planète. Ce sera pour plus tard, lorsqu’ils seront adultes les « chuttt , écoute les oiseaux » ou en d’autres circonstances mais pas un dimanche où déjà ils sont restés enfermés dans les classes toute une semaine.
Pour le moment c’est du bruit qu’ils veulent
faire, courir et faire de l’équilibre.
La détente était là, même si la décision de sortir apportait une part de défi pour encourager ces enfants à s’habiller et sortir encore …… encore ! Le choix de la distraction par la télévision était tentante, avachis sur le canapé et hypnotisé par cet écran et ses histoires.
La détente était là, même si la décision de sortir apportait une part de défi pour encourager ces enfants à s’habiller et sortir encore …… encore ! Le choix de la distraction par la télévision était tentante, avachis sur le canapé et hypnotisé par cet écran et ses histoires.
Alors en toutes saisons et tout temps il y a
eu la promenade dominicale après le poulet rôti et la tarte aux pommes (éclat de rire)… je sais bien que le menu a
un peu changé et la promenade dominicale est remplacée chez beaucoup par les
émissions de distractions.
Pas chez nous et toujours pas chez moi, car
les enfants ont grandi…
Bien sûr ce fut une chance, une chance
qui était ouverte à une époque à beaucoup de monde avant, avant la télévision. Mais
certains ne se sont pas fait prendre au piège de la distraction et ont su
utiliser à bon escient ce nouveau poste dans le salon.
Retour à la maison.
Mais souvenez-vous ! Souvenez-vous des retours à la maison ces jours-là se faisaient très calme, il y avait ce besoin d’air, de marcher, de courir, de s’agiter qui était nourrit. Les enfants après avoir boudé la sortie se prenaient bien vite au jeu d’autres possibilités.
Joie simple ! Les retours à la maison, dans la voiture ou à pieds, plus de chamaillerie – Tout le petit monde avait son comptant de dépense physique et son taux d’oxygène pour le cerceau et les poumons.
Mais souvenez-vous ! Souvenez-vous des retours à la maison ces jours-là se faisaient très calme, il y avait ce besoin d’air, de marcher, de courir, de s’agiter qui était nourrit. Les enfants après avoir boudé la sortie se prenaient bien vite au jeu d’autres possibilités.
Joie simple ! Les retours à la maison, dans la voiture ou à pieds, plus de chamaillerie – Tout le petit monde avait son comptant de dépense physique et son taux d’oxygène pour le cerceau et les poumons.
Le corps se pose dans ces cas-là, la
langue aussi ! « rire »
Merveilleuse nature, espace vert,
arbres bienfaisants. Merci !
Bienfaisante nature
Il suffit de nous observer lorsque adulte nous
prenons le temps d’aller dans la nature, seul ou en groupe, seul si c’est
possible c’est mieux, de valider la tranquillité de l’esprit, quelques fois la
créativité plus présente même parfois nous observerons une joie qui n’était pas
présente ce matin à notre réveil.
Dans ces balades qui se sont
poursuivies jusqu’au moment du « je quitte le bercail ». Nous sommes passés de la cueillette des pâquerettes et du jeu des bâtons, à la cueillette de champignons
– ils ont adorés les cueillir, les reconnaitre mais pas forcément les manger -
Rire-.
Aventure, aventure nous sommes passés aux autres cueillettes, celles des herbes, asperges sauvages oui, celles dont le feuillage pique, puis les pissenlits, les premières salades de pissenlit, les cures vertes des parents – Les enfants se se moquent un peu - rire - les parents qui mangent du pissenlit tous les jours et pas de viande « n’importe quoi ! », fleurs en omelette, en confiture, puis la liste de l’infini c’est poursuivie.
A ce jour adulte, la nature est chez eux, ils ont tous un jardin et quelques
légumes et il y a l’esprit de l’enfant qui mime les parents, met en pratique et la richesse de
l’échange se transmet, rien ne s’oublie même si les activités font oublier le
bol d’air de la forêt, les vacances scolaires les ramènent à la promenade, à la
cueillette, au respect de la nature, des animaux, des humains et au partage.
Le partage de la nature avec nos enfants et famille est indispensable à la suite de notre vie équilibrée !
Le partage de la nature avec nos enfants et famille est indispensable à la suite de notre vie équilibrée !
Écrit par Monique Sivadon
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