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Calendrier sorties 2024
Sorties organisées 2024
Dosnon -10700 1er samedi du mois de
Mars : samedi 2 10h/12h
Avril : samedi 6 "
Mai : samedi 4 "
Juin : samedi 1er – cueillette et cuisine- 10/16h
Juillet :6 juillet – atelier lactofermenté 9.30h/12h
Septembre : samedi 13 - 10h/12h
Les Plaines St Lange- 10250 2ème samedi du mois de
Mars : samedi 9 10h/12h
Avril : samedi 13 "
Mai : 11 "
Juin :8 Se fera à Dosnon exceptionnellement
Juillet : 13 "
Septembre : samedi 28 - 10/12h
Brienne – Basse Fontaine – 10500 – 3ème
samedi du mois - animation Julie
Mars : 16 10h/12h
Avril : 20 "
Mai : 18 "
Juin : 15 "
Lesmont – 10500 4ème samedi du mois - avec Julie
Mars : 23 10h/12h
Mai : 25 ''
Juin : 22 Sortie annulée
2 Cours pour TOUS
1. Cours cueillette et cuisine : Le 1er juin à Dosnon 10700
– de 10h à 16 h -
2. Cours lacto-fermenté – mode de conservation sans cuisson de vos cueillettes- 6 juillet - 10h/12h - Tarif - clic pour voir l'affiche
Tous ces ateliers se font sur inscriptions.
Merci de nous informer par courriel ;
natureetcomplicites@gmail.com
Par appel ou SMS- téléphonique : 06 78 77 58 41
Tarif adhésion à l'année : 10€ - Tarif
par atelier : 15 € par adhérent - 20 € par atelier pour les non-adhérents
Tarif spécial pour sortie en groupe 15 à 40 personnes.
Nous contacter
Chénopode blanc
Chénopode
blanc - épinard sauvage –
Le chénopode blanc est un épinard sauvage
Espèce végétale appartenant à la famille des Amaranthacées (sous-famille des Chénopodioïdées, triplicées
C'est assez tard que je me suis intéressée à cette plante pourtant présente dans mes environs. J'avais déjà tellement de quoi me nourrir qu'elle pouvait attendre. :)
J'ai commencé ma rencontre gustative doucement en passant par quelques feuilles crues dans mes salades, puis tout simplement avec un peu de beurre fondu sur ses feuilles à peine cuites comme des épinards...c'est ainsi que je préfère le chénopode !
Il m'arrive d'avoir que peu de feuilles et donc ce légume passe dans une tarte aux herbes ou tout simplement dans une omelette.
J'ai commencé ma rencontre gustative doucement en passant par quelques feuilles crues dans mes salades, puis tout simplement avec un peu de beurre fondu sur ses feuilles à peine cuites comme des épinards...c'est ainsi que je préfère le chénopode !
Il m'arrive d'avoir que peu de feuilles et donc ce légume passe dans une tarte aux herbes ou tout simplement dans une omelette.
Voici ce que j'ai à partager en complément avec vous de cette herbe sauvage et comestible.
Synonymes :
blé blanc, ansérine blanche, ansérine farineuse, chou farineux, chou gras,
poule grasse, drageline, serousse, herbe au vendangeur, etc.
Le chénopode blanc (Chenopodium
album, Polygonacées) mauvaise herbe des jardins, des friches, des fossés est
une plante vivace à cycle court très prolifique, chaque pied peut atteindre le nombre de 100000 graines. Les
fleurs sont à peine visible inséminée
par le vent.Sa hauteur 1 m et parfois le double. Elle porte nombre de feuilles dont les formes sont très variables, irrégulièrement dentées, de tailles diverses, etc., ce qui ne permet pas toujours de bien l’identifier du chénopode bon-henri et de l’arroche qui parfois sont confondus. Quel que soit la morphologie foliaire, ce qui ne varie pas : la couleur vert cendrée, un aspect farineux/poussiéreux est la présence de minuscules cristaux de silice blanchâtres qui tapissent la surface du limbe.
Vertus :
Riche en protéines, en minéraux : le calcium, le cuivre, le potassium et le magnésium, ainsi qu’en vitamine A, B1, B2, PP et C. Il contient de l’acide oxalique dont l’excès peut nuire aux reins et dont la teneur augmente à la cuisson.
Riche en protéines, en minéraux : le calcium, le cuivre, le potassium et le magnésium, ainsi qu’en vitamine A, B1, B2, PP et C. Il contient de l’acide oxalique dont l’excès peut nuire aux reins et dont la teneur augmente à la cuisson.
- Cuite, elle est déconseillée aux personnes souffrant de troubles rénaux et de rhumatismes qui se verra également interdit en cas de pathologies hépatiques.
·
Propriétés
thérapeutiques : Diurétique, dépuratif
- Antitussif
- Antihémorroïdaire
- Sédatif
- Rafraîchissant
- Galactogène
Usages thérapeutiques
- Troubles de la sphère respiratoire : bronchite, asthme, adjuvant dans la tuberculose
- Affections rénales
- Affections biliaires
- Lactation insuffisante
- Plaie, plaie saignante
Modes d’emploi
- Infusion de feuilles.
- Feuilles en nature dans l’alimentation
Cuisine : On mange les
feuilles, les jeunes graines (sous une certaine bonne connaissance) et les
jeunes tiges.
Se consomme crue et cuite. Crue : quelques feuilles
dans vos salades.
Cuit : tarte, soupe, omelette, cake végétal, etc.
Cuit : tarte, soupe, omelette, cake végétal, etc.
Bon appétit !
Aubépine monogyne
Aubépine - crataegus oxyacantha
Famille
des rosaceae
Autres
noms : épine blanche, épine de mai, noble épine, bois de mai, poire d’oiseau,
sénellier
Un article fut écrit en 2013, celui-ci est une suite et complément du premier.
Histoire : Au
Ier siècle, on lit des écrits de Dioscoride qui évoquait déjà l’aubépine dans
ses œuvres. On trouve aussi « propriétés
médicinales connues depuis le Moyen-âge » ! elle symbolisait l’espoir et soignait bien des
maux.
Ce jour on l’utilise surtout pour les problèmes circulatoires et cardiaques
notamment l’angine de poitrine (angor). En phytothérapie, c'est littéralement
la « plante du cœur ».
On compte environ 20 sortes d’aubépine, mais 2 seules Crataegus oxyacantha et Crataegus monogyna sont utilisées en phytothérapie française.
On compte environ 20 sortes d’aubépine, mais 2 seules Crataegus oxyacantha et Crataegus monogyna sont utilisées en phytothérapie française.
Description : Plante
buissonnante et épineuse forme souvent des haies à la lisière des bois et dans
les champs, dans toutes les régions tempérées. Mais également le buisson peut
se rencontrer en tant que grand arbre de plus de 10 mètres et se sera toujours
un crataegus
On la cultive par bouturage.
On la cultive par bouturage.
Ici je vous parlerais de l’aubépine monogyne à fleurs blanches, celle
que je rencontre et cueille à 200 mètres de chez moi ;)
Principes : Tonique
cardiaque, vasodilatateur, relaxant (tranquillisant), antioxydant
Les fleurs
ou la feuille avec l’inflorescence ont des propriétés incontestables - Régulateurs
cardiaques, ils provoquent la dilatation des artères, soignent l'hypertension,
calme les spasmes, améliorent le fonctionnement du cœur. Les feuilles et les
fruits possèdent, à un degré moindre, les mêmes vertus.
Pour en lire
plus sur l'Aubépine, beaucoup plus 😊 : Auteur Gilles Gras
La
cueilleuse : Les branches fleuries d’un blanc rosé, sont coupées à la fin du
printemps, dans l’Aube on la cueille à la mi-mai et rarement plus tard.
Les baies dites cenelles se récoltent à la fin de l’été et en effet cette année 2018 elles sont bonnes à cueillir à la mi- septembre.
J’ai commencé à cueillir ces branches de fleurs à la senteur envoutante il y a déjà bien une vingtaine d’années.
Les baies dites cenelles se récoltent à la fin de l’été et en effet cette année 2018 elles sont bonnes à cueillir à la mi- septembre.
J’ai commencé à cueillir ces branches de fleurs à la senteur envoutante il y a déjà bien une vingtaine d’années.
Je me souviens d'un printemps 2012 être dehors au soleil assise avec une amie sur les escaliers à « éplucher » nos branches et un
sentiment de paix mentale se faisait sentir. De bavardages actifs du début s’en
est suivie une méditation spontanée. Nous en étions agréablement ensemble dans
le silence sans autre besoin que d’être là !
Oui, l’aubépine comme beaucoup de plantes à son action dans la senteur et la vibration. (fleurs du Dr Bach)
Oui, l’aubépine comme beaucoup de plantes à son action dans la senteur et la vibration. (fleurs du Dr Bach)
Cuisine : Je me sers de ces jeunes feuilles
pour faire un apéritif à base de vin blanc et exposé 3 mois au soleil. ça ne
fonctionne pas aussi bien chaque année. Le soleil quelques fois trop fort,
comme 2012 et 2018 fait que le vin est
cuit avant d'être bu (Rires) il sera parfait en cuisine
La nature est une belle éducatrice. Elle me permet
de rire de moi, me mettre en expérience sans pour autant ressentir la notion
d'échec.
Je joue à l'apprentie en toute modestie.
|
L’Aubépine
fut ma tisane du matin* bien que je n'ai aucun problème avec mon cœur.
Intuitivement il y a une raison que ma raison ignore. J’écoute ma petite voix
intérieure sans trop me poser de question car je la sais plus intelligente que
mon intellect.
*J'ajoute
selon mon ressenti, guimauve, fleurs de sureau, lavande, fenouil, sauge...
Les fruits sont cueillit en automne
lorsqu'ils sont bien mûrs – une époque j’aurai écrit « passés les
premiers gels » mais cette année de chaleur les fruits sont mûrs et les
gelées peuvent ne pas venir.
Farineux, acides et amers, ils ont une saveur quelconque qui s'améliore cependant si les fruits gèlent sur l'arbuste – Nous verrons bien si la gelée arrive avant le chute totale de ces cenelles. Mais sinon … mettre dans votre congélateur.
Farineux, acides et amers, ils ont une saveur quelconque qui s'améliore cependant si les fruits gèlent sur l'arbuste – Nous verrons bien si la gelée arrive avant le chute totale de ces cenelles. Mais sinon … mettre dans votre congélateur.
Recettes :
1 Printemps : Salade de pommes de terre
aux bourgeons d'aubépine - 600gr de pommes de terre cuitent, 2 oignons doux, 3
œufs durs, une valeur d'1/2 l de bourgeons d'aubépine, 2 c. de yaourt nature, 1
c. de vin blanc, sel, poivre, moutarde.
Mélanger le
tout. Mettre au frais.
Servir en
entrée de repas.
Automne : On en prépare des sirops ou
on fait sécher les cenelles pour les utiliser plus tard sous forme de tisanes.
Riche en Vitamine C
Purée de cenelles ; Faire tremper les cenelles la
veille dans de l’eau et les cuire légèrement. Passer à la passoire ou au chinois.
Préparer un peu de sucre et un peu des 4 épices. Faire épaissir et servir cette
compotée avec une viande ou pain végétarien.
Et plus de recettes ici
Dans le
livre des éditions Gründ : je lis
que les jeunes pousses ou bourgeons non ouverts se mangent crus et qu'ils
ont un goût de noisette. Ils s'incorporent frais et finement hachés dans des
macédoines de légumes, dans les salades, les pâtes à tartiner à base de fromage
blanc...etc.
Allez
visiter cette page que je nomme "l’aubépine et les fées"
Une autre histoire de plantes.
Une autre histoire de plantes.
Pourquoi devenir cueilleur ?
"Pourquoi devenir cueilleur ?"
Voici un titre qui doit vous interpeller !
En effet pourquoi et en cette époque
où les commerces nous offrent tout ce dont on a besoin et plus encore,
pourquoi devenir cueilleur !
Cueillir et s’en nourrir, améliorer son assiette en nouveaux goûts, en couleurs, en
qualités nutritionnelles, envie de bouger, partir à l’aventure, se risquer, vivre
dans les bois…. Chaque époque a eu son retour en arrière lu récemment dans une revue.
Est-ce bien revenir en arrière ou est-ce autre chose de plus profond ?
Chacun trouvera sa réponse
intérieure, nous avons tous une conscience, une évidence, un besoin, une
enfance qui nous amène à ce retour à la
nature.
C’est mon cas, prolongement du rituel
familial, la promenade et la petite cueillette qui sera bien souvent le délice
du repas du soir.
Je suis redevenue cueilleuse parce que ! 😊
Le commerce nous offre tout et au-delà de nos
besoins : les fraises à Noël, des pommes toutes l’année…Pourquoi cueillir !
Plus de saison ni contrainte tout va
bien mais pourquoi cueillir !
J’ai commencé comme beaucoup à dire
STOP !
Stop, je me pose trop de questions, oui c’est facile, oui tout existe en sachet, lavé voir même coupé d’avance. STOP !
Stop, je me pose trop de questions, oui c’est facile, oui tout existe en sachet, lavé voir même coupé d’avance. STOP !
Ça y est, j’ai vu le commerce
alimentaire, le grand commerce, oui, j’ai essayé, oui ça m’a facilité la vie et
là il y a quelque chose en moi qui n’en veut plus. Je n’étais plus en accord
avec mon repas, ma cuisine et mon plaisir de me «restaurer »
Vous savez se restaurer, oui ça parle
de restaurant mais aussi de restauration, se réparer.
C’est là que j’ai commencé à ne plus être en accord avec les valeurs nutritionnelles de cette alimentation de plus en plus hors saison, calibrée, de bonne conservation mais comment et avec quel additif …
C’est là que j’ai commencé à ne plus être en accord avec les valeurs nutritionnelles de cette alimentation de plus en plus hors saison, calibrée, de bonne conservation mais comment et avec quel additif …
Je fais partie d’une famille qui aime
le goût, l’équilibre, le végétal, une famille du sud… quoi - éclat de rire. …et une famille de
cueilleurs et je vais reprendre le flambeau, renouer avec un passé, l’augmenter
et partager.
Pourquoi cueillir et de nous en nourrir jusqu’à la table !
Pourquoi cueillir et de nous en nourrir jusqu’à la table !
Voilà, je suis partie avec mon panier, appareil photo, couteau, et tout le
nécessaire pour cueillir juste ce qu’il faut, pour cuisiner et goûter. Si c’est
bon, je reviendrai ;)
Cueillir c’est avoir envie, ça commence comme ça.
Cueillir c’est avoir envie, ça commence comme ça.
Avoir envie, puis pour vous pousser
dans votre envie, invitez vos amis et ne faites qu’un apéro de plantes sauvages
et jouez à « qui devine ce que j’ai mis dans vos toasts ? »
Vous allez surprendre et pousser à la curiosité. Et c’est ainsi que j’ai eu mes premiers adeptes des plantes sauvages.
Vous allez surprendre et pousser à la curiosité. Et c’est ainsi que j’ai eu mes premiers adeptes des plantes sauvages.
Rencontre avec la nouvelle plante,
Richesse du goût, nutrition et équilibre.
Dans mes expériences familiales, je
ne faisais que copier les cueillettes des plantes connues par maman, mamie, grand-père…
c’était un héritage.
Là maintenant, je me suis prise en main et pris ma propre évolution et j’ai aimé ce sentiment d’autonomie et de liberté.
Là maintenant, je me suis prise en main et pris ma propre évolution et j’ai aimé ce sentiment d’autonomie et de liberté.
L’aventure… Oh, sans trop de risque
hein ! Ce n’est pas Indiana Jones - Éclat de rire –
Ce que ma famille ne savait pas et que bien
des livres nous délivrent en ces temps sont les valeurs nutritives de
ces plantes sauvages comestibles.
Sauvages et gourmandes, c’est un des aspects que j’apprécie le plus… d’ailleurs je ne cueille et apprends à cueillir que les goûteuses. Chaque plante a son originalité et sa composition riche en nutriments font que nous allons l’ajouter à nos plats en fonction de cette différence. Les aromatiques riches en huile essentielle se marieront certainement avec vos plats préférés et ajoutées par touches. Etc.
Par exemple * L’ortie a qui mon corps dit oui de suite « L’ortie ma copine», que je connais depuis l’enfance fut acceptée rapidement et même avec des retrouvailles qui durèrent six mois. Oui j’ai mangé de l’ortie tous les jours pendant six mois. Et ensuite j’ai compris que mon intuition avait raison.
Sauvages et gourmandes, c’est un des aspects que j’apprécie le plus… d’ailleurs je ne cueille et apprends à cueillir que les goûteuses. Chaque plante a son originalité et sa composition riche en nutriments font que nous allons l’ajouter à nos plats en fonction de cette différence. Les aromatiques riches en huile essentielle se marieront certainement avec vos plats préférés et ajoutées par touches. Etc.
Par exemple * L’ortie a qui mon corps dit oui de suite « L’ortie ma copine», que je connais depuis l’enfance fut acceptée rapidement et même avec des retrouvailles qui durèrent six mois. Oui j’ai mangé de l’ortie tous les jours pendant six mois. Et ensuite j’ai compris que mon intuition avait raison.
La « structurante ortie » - J’en avais besoin. Parfait !
Il en est ainsi de toutes ces sauvages qui peuvent nous remettre en force et santé par leur présence régulière dans notre assiette. Il suffit de bien vouloir se pencher et cueillir.
Les saisons naturellement apportaient la variété.
Il en est ainsi de toutes ces sauvages qui peuvent nous remettre en force et santé par leur présence régulière dans notre assiette. Il suffit de bien vouloir se pencher et cueillir.
Les saisons naturellement apportaient la variété.
Le partage joyeux et généreux
Dans ma pratique j’ai fait des
adeptes et des heureux en tant que cueilleur qui aiment inviter des amis au
dernier moment à se restaurer et vous offre les plaisir des yeux et du palais en dernières minutes, en faisant un petit tour au jardin histoire de rien. Rien ! mais ça fait beaucoup. 💓
L’assiette est colorée de la cueillette de quelques sauvages reconnues et entretenues, le rouge de la tomate ainsi que le jaune s’ajoutera à quelques pétales de fleurs de rose trémière, pâquerette, souci, coquelicot, bourrache, le vert de quelques feuilles de chénopode, pourpier, orties, plantain, et c’est sans fin.
Le riz blanc semblait bien ordinaire avant leurs arrivées variées et ce Tout éclate en couleur et fait saliver le plus difficile des regards imaginatifs. Car le regard est le premier apéritif !
Pour conclure je vous dirai, ne vous
privez pas de ce désir de cueillir,
lire le premier article l’article
« Nos retrouvailles avec la Nature » -
Nous rejoindre à notre association Nature et Complicités – profitez de nos sorties qui vous aident à reconnaitre au rythme
des saisons toutes ces plantes, vous apprendre à les cuisiner, les goûter et vous
voici adepte et fortes, forts pour poursuivre cette aventure en toute liberté
et faire à votre tour des amis curieux et gourmands des mauvaises herbes de leur
jardin et de leur environ.
Je vous dis Á bientôt en balade gourmande
Monique Sivadon